Aller au contenu

Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/260

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Henri, dit-elle en éclatant en larmes, il fallait qu’un grand malheur me frappât aujourd’hui ! J’accourais chez sir Charles Murray, croyant te trouver grièvement blessé, car le bruit de ton duel avec un officier supérieur de l’armée royale était parvenu à moi, presque en même temps que le message de sir Charles, qui m’invitait à me rendre ici.

J’arrive… Dieu soit loué ! tu es sain et sauf ! Mais je rencontre, en entrant dans celle maison, William que voici, William, le vieux et fidèle serviteur de lord Lisle, William qui ne l’a pas quitté durant tout son long exil… Et j’apprends