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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/305

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— Je sais enfin, poursuivit Murray, qu’a l’heure qu’il est, nul homme dans le Royaume-Uni ne serait assez fort pour disputer sa tête à Jefferies ou pour lui arracher une victime.

— Ici, vous cessez d’être dans le vrai. Il est un homme, un seul à la vérité, qui peut regarder Jefferies en face, mettre la main sur une proie qu’il a déjà flairée, la lui arracher et dire à sa fureur qui monte et rugit : recule et calme-toi !

— Vous ne m’apprenez la rien de bien particulier. Cet homme, c’est le maître du tigre Jefferies, c’est Jacques Stuart !