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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/312

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manières brusques, à l’air d’assurance du visiteur, le valet auquel il s’était adressé s’inclina devant lui en disant :

— J’ignore si mylord est visible. Néanmoins, qui dois-je annoncer ?

— Annoncez le Destin, répondit froidement l’inconnu.

Le valet ouvrit de grands yeux et regarda attentivement son interlocuteur ; il craignait d’avoir affaire à un fou.

— Eh bien, continua ce dernier d’une