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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/64

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bien, tant mieux ! car c’est pour moi qu’elle est faite !… Et malheur à qui, moi vivant, voudrait la posséder !

Il ferma le médaillon, le mit dans sa poche, se coiffa de son large chapeau, s’enveloppa de son manteau, s’assura si son épée, après la pluie qu’il avait reçue, jouait bien dans le fourreau, jeta un triste et dernier regard sur la scène désolée qu’il allait quitter, et sortit de la maison.

À peine le bruit de ses pas se fut effacé dans l’éloignement, qu’une fenêtre du salon se brisait en éclat et qu’un homme