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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/71

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— Mylord ! dit-il en sentant des pulsations plus fortes qu’il ne l’espérait ; mylord, réveillez-vous, regardez-moi…

Le regard du noble vieillard, après avoir flotté quelques instants dans le vague, s’arrêta sur l’homme qui le sollicitait :

— Qui êtes-vous ? dit-il.

— Votre vengeur !

— Vous ?… assassin, c’est donc pour m’achever que vous revenez ?…