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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, III, 1857.djvu/75

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— C’est celui que j’ai arraché de ma poitrine !

— Eh bien ! lisez ces mots gravés sur la lame… Attendez que j’enlève le sang qui les couvre… Pouvez-vous lire maintenant ?

— « Le fils de Mahomet au capitaine Barca. »

— Doutez-vous encore ?

— Non… Mon Dieu, je vous laisse le soin de me venger !