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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/162

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le texle sacré, porta ses regards sur Murray.

En voyant son air inspiré, un spectateur qui aurait assisté à cette scène, eût pu croire que Wildman n’avait pas entendu une seule des paroles qui venaient de résonner à ses oreilles, et celles qu’il prononça presqu’aussitôt ne l’auraient assurément pas fait changer d’’idée.

— C’est une merveilleuse histoire que celle de la fille de Jephté ! dit-il d’une voix lente et solennelle. Quels graves et sublimes enseignements ne nous donne-