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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/25

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dernier mot, Fitzgerald, — et ce dernier mot, si je ne me trompe, te sera agréable, — tu dois avoir besoin d’argent ; voici un nouveau bon de deux cents livres sur le banquier Cornish… Bonne chance, exécrable enfant du diable !… et que l’enfer te protège !… N’oublie point qu’il faut avant une heure que tu sois en route !

— Mylord, dit Fitzgerald qui, malgré ce congé si nettement formulé, resta impassible à sa place, je ne quitterai pas Londres avant d’avoir vu ma sœur, ma Suzanne bien-aimée… Oh ! ne vous emportez pas, mylord, c’est parfaitement inutile… Vous savez que vos jurements ne