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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/279

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En pénétrant dans une salle splendidement éclairée, Suzanne y trouva une compagnie tout autre que celle qu’on se souvient sans doute d’avoir déjà rencontrée une première fois dans le même lieu.

Ni le rusé et peu scrupuleux Berch, ni aucun autre des avocats de bas étage que le grand juge admettait d’ordinaire à l’honneur de s’enivrer avec lui, ne se trouvaient là.

À l’apparition de Suzanne dans sa blanche et riche toilette, trois hommes