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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/286

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— Général ! s’écria-t-il, vous pouvez lâcher mylord Jefferies… Oui, vous dis-je, vous pouvez le lâcher !… C’est moi, Chiffinch, qui le défie d’exécuter contre madame la moindre partie de ses menaces ! Mylord Jefferies ni moi ne sommes des hommes d’épée ; nous ne croiserons donc pas le fer, nous ne nous couperons pas la gorge… mais nous avons d’autres armes, et nous combattrons d’une autre façon… Nous verrons qui le premier culbutera l’autre et le réduira à néant, tout en le laissant vivre !… Venez, Suzanne, venez… Ni vous ni moi ne nous attablerons avec ce rustre et grossier personnage !

— Ma foi ! tu n’as que ce que tu méri-