Aller au contenu

Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/292

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ruse et le vice, la colère du grand juge s’était calmée, et ses yeux étaient devenus hagards, son geste suppliant.

Dès qu’il eut recouvré la liberté de ses mouvements, et surtout celle de la parole, il s’avança vers Chiffinch et lui dit :

— Allons ! j’ai eu tort, grand tort, de m’emporter ainsi, je le reconnais, et je vous prie, Chiffinch, mon bon ami, mon fidèle associé, d’oublier ce fâcheux incident. Que diable ! il ne faut pas qu’une amitié éprouvée comme la nôtre se