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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, V, 1857.djvu/159

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dit Murray d’une voix sombre. Ah ! j’ai bien souffert depuis que Wildman m’a quitté ! depuis qu’il a laissé tomber de ses lèvres prophétiques des paroles qui bourdonnent sans cesse à mes oreilles, la nuit et le jour, durant la veille et pendant le sommeil !…

— Quelles sont donc ces paroles si terribles, mon père ?

— Lorsque je lui eus déclaré que jamais, et pour quelque victoire que ce pût être, je ne consentirais à ton union avec Percy Kirke, le regard illuminé, la voix vibrante,