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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, V, 1857.djvu/176

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Telles étaient les pensées qui occupaient Suzanne, avant qu’elle eût vu et entendu : ce qui venait de se passer devant sa porte. On peut dès-lors aisément concevoir la situation de son esprit, tandis qu’elle attendait, assise, l’entrée de Chiffinch.

Un sourire de satisfaction errait sur les lèvres du premier page de Sa Majesté, lorsqu’il se présenta devant la jeune fille, et ce fut avec un courage qui ne lui était pas habituel qu’il s’avança vers elle pour lui faire un profond salut.

— Ah ! vous voilà, dit-elle d’une voix