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Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, V, 1857.djvu/190

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Suzanne, dit le page d’une voix humble et en prenant dans ses mains tremblantes celle de la jeune fille qui la lui abandonna.

— Et ce n’est pas tout, poursuivit-elle. Il est d’abord bien entendu que vous n’entrerez pas avec moi dans le cabinet de mylord Jefferies… Et puis, je veux que vous m’attendiez chez lui dans le vestibule… Mylord Jefferies est un brutal… Il peut avoir la fantaisie de me maltraiter… Je ne serais pas fâché de vous savoir là, et que je puis vous appeler à mon secours…

— J’obéirai en tout point, murmura