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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/107

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détestable opinion qu’il soit donné d’imaginer.

Ils se figuraient trouver en nous de grossiers ivrognes, jurant, sacrant, se battant à coup de poings, ayant, en un mot, une abominable tenue.

Les flibustiers, à ce qu’ils croyaient, étaient des êtres goudronnés et débraillés, quelque chose qui tenait du brutal matelot et du sauvage Caraïbe.

Je dois rendre cette justice à ces messieurs d’avouer qu’ils sont déjà