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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/120

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mes encore seuls, je voudrais bien que tu m’apprennes comment tu te trouves revêtu du cordon de commandeur de l’ordre ! Sais-tu bien, Laurent, que les plus grands seigneurs, les maréchaux de France, les ministres, désirent et briguent souvent en vain cet insigne honneur !

Il est impossible que, jeune encore, et ayant dans le monde une position peu régulière, tu sois, je ne dirai pas commandeur, mais même simple chevalier de l’ordre… Je ne m’explique pas l’audace presque sacrilège de ton travestissement…