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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/126

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pérés de l’insolence de cet aventurier, qui avait osé profaner, par un inqualifiable travestissement, l’ordre de Saint-Louis, laissaient éclater hautement leur indignation.

Les compagnons d’armes de Laurent, c’est-à-dire les capitaines flibustiers, approuvaient avec non moins d’énergie qu’elle était attaquée, la conduite de leur Frère-la-Côte.

— Après tout, cria l’un d’eux, nommé Pierre, si cela amuse le beau Laurent de porter ce chiffon rouge, pour-