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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/134

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Aussi, du moment où l’amiral baron de Pointis et son état-major virent le gouverneur s’effacer, sinon humblement, du moins respectueusement devant le flibustier pour lui céder le pas, ne doutèrent-ils plus des droits de ce dernier à porter le cordon du commandeur de l’ordre !

Au reste, la parole de Ducasse ne tarda pas à confirmer son action.

— Messieurs, dit-il avec celle assurance naturelle aux hommes qui savent qu’on ne peut révoquer en doute leur témoi-