Aller au contenu

Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/140

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

gnols l’ont trouée pendant la bataille, lorsque, monté sur ton banc de quart, tu tournais vers l’ennemi un front calme et intrépide ! Je te donne de l’or, et tu me rends un glorieux drapeau ! C’est donc, au contraire, moi qui gagne à ce marché…

Laurent se dépouilla alors de son magnifique pourpoint et revêtit la casaque du flibustier.

Des acclamations bruyantes retentirent, puis les Frères-la-Côte, sans se soucier de la présence de l’amiral de