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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/143

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N’importe, jamais sa dent ne m’atteindra plus haut qu’au talon.

— Mais si cette dent est venimeuse, Montbars ! Du talon, le poison monte jusqu’au cœur !…

— Oui, à moins que le talon, avant d’être atteint, n’écrase la tête du reptile.

Après avoir été présenté par Montbars au gouverneur Ducasse, qui l’accueillit avec une affabilité pleine de cœur et de