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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/152

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de dissiper le produit de leurs dernières prises, contrastaient singulièrement avec le cuir éraillé, la toile goudronnée, les grossières étoffes dont étaient couverts les moins favorisés récemment par le sort.

Au reste, quel que fût l’éclat ou la pauvreté de leur position présente, tous se traitaient avec une égalité absolue.

Laurent, orgueilleusement revêtu des habits déguenillés du capitaine Pierre, tenait la gauche de l’amiral ; Montbars