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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/154

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— Frères-la-Côte, s’écria en élevant son verre un capitaine-flibustier nommé Pays, je bois à la santé de Laurent !… Vive Laurent !…

Ce toast — ce mot n’était pas encore employé alors — souleva des acclamations prolongées et frénétiques !

Laurent se leva, et saluant avec une grâce complète :

— À la santé des Frères-la-Côte ! dit-il en fixant Montbars d’un regard triom-