Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
À cette proposition, à laquelle il ne s’attendait certes pas, de Morvan rougit de plaisir, et d’une voix émue :
— Je vous remercie, et j’accepte de tout cœur, monsieur le gouverneur, répondit-il ; je ferai de mon mieux pour que vous n’ayez pas à vous repentir de votre choix !
— Voilà donc chose convenue, dit Ducasse ; à présent retournons au camp. J’ai idée que l’amiral désire ma présence. Il a sur moi une revanche à prendre, et