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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/262

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c’est réparer à tout prix l’humiliant et douloureux échec que nous avons subi, relever le moral abattu de l’armée, ne pas laisser aux Espagnols le droit de se vanter d’avoir fait fuir les grenadiers français !… Faites agir vos flibustiers.

La franchise et la noblesse de cet aveu touchèrent Ducasse.

— Amiral, dit-il, votre conviction que les Espagnols, surpris et terrifiés par notre présence ne se défendraient pas, explique parfaitement et motive jusqu’à un certain point votre précipita-