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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/268

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Ducasse regarda sa montre.

— Il est quatre heures et demie, dit-il, à sept heures moins un quart, au plus tard, vous verrez le drapeau blanc flotter sur la citadelle.

Ducasse salua le baron de Pointis et se dirigea en toute hâte vers le corps des flibustiers ; à peine avait-il fait cent pas qu’il rencontra Montbars.

— Matelot, lui dit-il, remercie-moi, j’achève de rompre une lance avec l’amiral en l’honneur de la flibusterie.