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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/286

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veau combat, et chaque combat par un éclatant fait d’armes. L’amiral de Pointis renonçant à se passer du concours de ses intrépides alliés, dirigeait, de concert avec Ducasse, grièvement blessé à la jambe, les opérations des troupes.

Le baron, rendu à lui-même, déployait réellement de remarquables talents militaires unis à un admirable sang-froid et à une activité sans bornes ; aussi inspirait-il à l’armée une confiance aveugle.