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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/294

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Quoique le feu eût cessé, pas un des flibustiers et des grenadiers ne quitta sa place.

Tous restèrent accrochés ou suspendus le long de la muraille.

À peine dix minutes s’étaient-elles écoulées qu’une épouvantable détonation fit trembler les airs.

Les Espagnols, manquant à la foi jurée, à l’inviolabilité de la capitulation, venaient de foudroyer traîtreusement leurs trop confiants ennemis ! Alors, un