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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/89

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la mère-patrie leur envoie, sont implacables pour les malheureuses qui une fois liées à eux, manquent à leurs serments. Un Boucanier, s’il pardonnait l’outrage fait à son honneur de mari, deviendrait un objet de mépris pour ses compagnons. Le vide se ferait autour de lui, on ne consentirait à l’admettre dans aucune expédition, soit de chasse, soit de guerre ; on le traiterait comme un paria !

— Et la justice du roi ?…

— La justice du roi déjà si audacieuse-