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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/101

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rigueur dont ils venaient d’être les témoins, obéirent sans opposer la moindre résistance.

Dix minutes plus tard, pâles, tremblants, se croyant à leur dernière heure, ils comparaissaient devant le baron de Pointis.

En deux mots Ducasse expliqua à l’amiral ce qui s’était passé.

— Ma foi, cher collègue, répondit de Pointis, je ne partage pas, je vous l’avoue, vos principes de sévérité. Je trouve,