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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/119

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mettent un entrain, ils déploient une verve dont je suis émerveillé !… Quant à ces pécores qui affectent de crier, c’est du plus profond de leur âme qu’elles remercient tous les saints du calendrier de l’arrivée des ladrones dans Carthagène !

Si elles n’étaient retenues par la crainte que leurs maris ou que leurs parents ne leur chantent pouille après notre départ, elles vous enverraient une députation pour vous remercier de l’amabilité de vos Frères-la-Côte.

— Est-ce bien vous, Laurent, qui osez