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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/141

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que reflétait le visage de Montbars était si effrayante, si au-dessus de la colère humaine, qu’il se sentit ému.

— Montbars, dit-il, en essayant de faire bonne contenance, n’aggravez point votre position par une faute irréparable.

— J’ai dit « à genoux, » reprit Montbars. Quand je commande on doit m’obéir, allons à genoux !

Saisissant alors l’amiral par le bras, le flibustier le repoussa avec une telle