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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/176

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Il comprenait trop tard le piége où il était tombé.

Mais comment soupçonner un amiral d’un aussi odieux abus de confiance, d’un vol si impudent ?

Il fallait que le flibustier possédât un bien grand empire sur lui-même pour ne pas laisser éclater l’indignation et le désespoir qui ranimaient : il sentit que de Pointis, entouré par son équipage et sur son propre vaisseau, désirait vivement être insulté, cela lui eût offert un