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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/231

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tion je devienne le complice de ton crime ?

— Encore une fois, arrière ! reprit Montbars avec violence. N’oublie point, Louis, que je brise toujours, quels qu’ils soient, les obstacles qui s’opposent à mes volontés. Je suis encore maître de moi… tout à l’heure il serait trop tard !… Retire-toi du chemin de ma justice… si tu m’aimes, évite-moi un remords !…

— Je n’ai point renié mon nom, je suis resté un de Morvan, dit froidement le chevalier ; or, un de Morvan ne lais-