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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/264

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Frères-la-Côte, leur dit-il, je me suis engagé sur l’honneur à vous rendre des richesses au moins égales à celles que l’on vous a ravies ; rien ne m’est facile comme de tenir ma promesse. Mon plan est des plus simples : c’est la répétition de ce que j’ai fait il y a peu de mois à Grenade. Il s’agit tout bonnement de reprendre la ville de Carthagène, et d’en tirer une seconde rançon.

— Tu oublies, Laurent, s’écria un Frère-la-Côte en interrompant son nouveau chef, que Carthagène vient d’être