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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/315

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un allégement à tes peines dans la pensée que ton chevalier est heureux, non pas seulement par moi, mais par sa magnifique position dans le monde ! Je suis immensément riche !… Le nom que je porte, un des plus illustrés des Espagnes, jouit d’une grande considération à la cour. Le comte de Morvan pourra prétendre à toutes les dignités, à tous les honneurs !… Jeanne un peu de calme et de raison… Rien n’est encore fait. Causons avec sang-froid ; laisse-moi te montrer les choses sous leur vrai jour. Si le comte de Morvan liait son sort au tien, sais-tu bien ce qu’il en résulterait ? Une désillusion affreuse pour toi, des regrets éter-