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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/324

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Quant à Nativa, elle n’était pas moins agitée que sa rivale.

— Je suis une créature maudite, murmura-t-elle, ma présence porte malheur. Faut-il donc, après avoir tant torturé déjà le cœur de ce noble de Morvan, que je cause sa mort ! Non ! je ne veux pas qu’il soit victime de sa générosité. Ma présence ici est la seule chose qui l’accuse. Je le sauverai !

Nativa se leva alors, et, repoussant vivement Laurent, placé devant la porte,