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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/42

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— Mais dans une heure il sera trop tard, je ne serai plus, dit le Boucanier. Retourne le trouver. Je veux qu’il vienne de suite…

— De qui parles-tu, mon pauvre Barbe-Grise ? demanda Montbars à son vieil ami.

— De l’amiral ! de M. de Pointis !… Il a, m’as-tu dit, des pleins pouvoirs du roi !… Je veux qu’avant ma mort il me reconnaisse pour un Kerjean !…

— Je me charge de la commission, Barbe-Grise, répondit Montbars.