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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/273

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ser un vif plaisir à de Morvan, qui soupira comme si on eût retiré de dessus sa poitrine un poids qui l’accablait.

— Il allait poursuivre, lorsque Nativa mit son doigt devant son adorable petite bouche et, souriant d’un air mutin :

— Si vous vous obstinez, M. le chevalier, lui dit-elle, à retarder ainsi votre convalescence, je vous avertis que, ne voulant pas partager la responsabilité de votre imprudence, je vais m’éloigner et vous laisser seul.