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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/44

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Bâtie grossièrement en terre, entremêlée de chaux et de quartiers de roches brisées, cette habitation solitaire était cependant de nature à attirer l’attention du voyageur.

D’abord, une girouette surmontée d’une couronne de comte, se dressait orgueilleusement à l’une des extrémités de son toit ; ensuite une écurie, dont la construction récente ne manquait certes ni de solidité ni d’élégance, et n’eût pas été déplacée dans le voisinage d’un château, contrastait d’une étrange façon avec la bicoque à laquelle elle était annexée.