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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/102

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Le visage de Mathurin respirait une telle bonhomie et sa parole une si grande franchise, que de Morvan se sentit ébranlé.

Toutefois, ne voulant pas paraître céder de suite, il reprit :

— Le rare courage que vous avez montré en m’accompagnant dans l’expédition que nous avons faite ensemble, pour essayer de sauver le navire échoué sur les roches de Penmark, puis la manière bizarre dont vous vous êtes ensuite éloigné, démentent la position que vous vous donnez.