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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/130

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je vous reconnais pour mon vainqueur. Au nom du ciel ! ne me tuez pas, dit-il d’un ton suppliant.

Quant au second hidalgo, mieux servi par sa rosse, il avait pris la fuite.

Il eût été difficile, en voyant la grotesque figure du cavalier châtié, de conserver son sérieux : aussi de Morvan ne put-il s’empêcher de partir d’un grand éclat de rire.

— Pourquoi m’as-tu menacé, drôle ? demanda-t-il au cavalier à la grande rapière.