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sième était une boutique de maréchal-ferrant.
Ce fut à l’enseigne de l’Enchanteur-Merlin qu’ils s’arrêtèrent.
Pendant qu’Alain, après avoir dessellé les chevaux les promenait à petits pas, pour les conduire ensuite à l’abreuvoir, de Morvan, entré dans l’auberge, examinait les localités et jetait en passant, un regard triste et interrogateur, sur les fourneaux éteints de la cuisine.
L’intérieur du bel établissement de l’Enchanteur-Merlin comptait trois piè-