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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/153

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De Morvan se jeta aussitôt en bas de son lit, prit un pistolet et se dirigea vers la porte.

Comme cette porte s’ouvrait en dedans de la chambre, le chevalier, après avoir tourné la clé, se recula vivement d’un pas afin de ne pas être renversé si l’on entrait avec violence.

Que l’on juge de l’étonnement du gentilhomme, lorsqu’il vit se glisser à travers le battant entr’ouvert, une femme qui, à moitié nue et les cheveux épars sur la poitrine, tomba aussitôt à genoux,