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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/172

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cune résistance : j’entrai dans le carrosse !

Infamie et trahison ! le vicomte s’élançant alors derrière moi et me montrant un poignard :

— Si vous criez, si vous prononcez un mot, vous êtes une femme morte, me dit-il. Puis refermant la portière : « Fouette, cocher ! » ajouta-t-il. Et le carrosse partit avec la rapidité de l’éclair.

— Il paraît qu’il n’était pas alors at-