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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/203

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défenseur, je vais me réfugier dans ce hangar, et prier Dieu qu’il vous protégé, répondit la fille du comte de Blinval en désignant l’écurie.

De Morvan salua profondément la jeune fille ; puis se retournant vers Alain :

— À présent, suis-moi ! lui dit-il.

— J’aime mieux ça ! répondit le Bas-Breton.

Quelques secondes plus tard, le