Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/208

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qu’il avait déposée sur une chaise, avait disparu.

Cette découverte produisit une telle impression sur le malheureux gentilhomme qu’il resta, pendant quelques instants, incapable de prononcer une parole.

— Non, c’est impossible, dit-il enfin, j’aurai mal cherché.

D’une main qui tremblait, il souleva d’abord, puis jeta ensuite par terre le mince matelas de son lit.