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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/224

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rez de l’argent vous me rembourserez le double de ce que je vous aurai prêté.

— Si c’est ainsi, j’accepte, Alain, seulement je crains bien que tes économies ne soient pas assez considérables pour nous permettre d’atteindre Paris ?

— Je vous demande bien pardon, maître, répondit Alain, qui, s’arrêtant un instant pour donner plus de solennité à sa révélation, reprit bientôt avec amphase : — Monsieur le chevalier, je possède cinq écus de six livres !

Le Bas-Breton dissimulait le sixième