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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/231

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trompe un de Morvan, mais on ne le raille pas…

Aux mauvaises plaisanteries, j’opposerai la pointe de mon épée…

Le rire cesse devant le sang…

Oui, mais Nativa est riche, puissamment riche.

Il me faut donc de l’or, beaucoup d’or, pour devenir son égal.

Sans cela, quelque grand seigneur…