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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/235

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d’une voix sonore et joyeuse en s’adressant à de Morvan ; j’espère que vous avez passé une bonne nuit. Je viens savoir si, avant de vous remettre en route, vous ne désirez pas prendre le coup de l’étrier ?

Quoique le chevalier fût devenu, depuis sa déplorable aventure, d’un remarquable scepticisme, il ne put cependant s’empêcher de convenir en lui-même que rien dans la contenance de l’aubergiste ne dénotait la gêne, l’affectation ou l’embarras.

Néanmoins, après lui avoir raconté