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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/264

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gure ; elle prouve que vous avez le cœur fortement trempé ! Tenez, mon gentilhomme, voulez-vous conclure un nouveau marché avec moi ? Je ne sais, mais quelque chose me dit que je dois, tirer un profit de vous…

— Voyons ce marché, Mathurin !

— Avant tout, car je ne voudrais pas passer pour un malhonnête homme à vos yeux, reprit le maquignon après un léger silence, établissons bien nos positions respectives : moi, je n’ai nullement besoin de vous ; vous, il n’est guère possible que vous vous passiez de moi ; l’a-